Initiative de l’Union internationale contre le cancer, la journée du 4 février est consacrée au cancer, sa lutte et sa prévention. Depuis 24 ans, la Journée Mondiale contre le Cancer invite divers pays, sociétés, organisations, patients et citoyens du monde entier à prendre la parole au sujet de cette maladie qui représente la première cause de décès chez l’homme et la deuxième chez la femme en France.

Spécialisé dans l’élaboration de produits naturels, Phiméa profite de cette mobilisation mondiale pour évoquer l’intérêt grandissant de la part des services d’oncologie pour l’aromathérapie, de plus en plus envisagée comme une approche complémentaire pour améliorer le quotidien des personnes soumises aux traitements anticancéreux.

Antispasmodiques, régénératrices cutanées, anti-inflammatoires, analgésiques… Les huiles essentielles possèdent des propriétés pouvant constituer un soin de support intéressant lors de chimiothérapie ou de radiothérapie, ou en cure post-cancer. De plus, elles répondent à une demande croissante de la part des patients qui cherchent à se tourner davantage vers des solutions plus « naturelles ».

Nausées, ongles abîmés, ulcérations buccales, brûlures font notamment partie des effets secondaires fréquents du cancer et de ses traitements. Des symptômes que les huiles essentielles peuvent soulager. L’huile essentielle de niaouli peut par exemple être appliquée en massage, après avoir été diluée dans une huile végétale avec un dosage indiqué par le médecin, pour soulager des brûlures résultant d’une radiothérapie (jamais avant !).

Toutefois, leur utilisation requiert une extrême vigilance car il existe des risques d’interaction avec les médicaments allopathiques et des contre-indications pour certaines pathologies (comme c’est le cas des huiles essentielles dont l’activité œstrogène-like n’est pas compatible avec un cancer du sein).

Si les huiles essentielles présentent de nombreux bienfaits pour la santé et le bien-être, elles constituent avant tout des substances composées de principes actifs puissants. C’est pour cela que leur utilisation doit TOUJOURS s’accompagner du conseil d’un professionnel. Chaque cas étant unique, seul le médecin cancérologue sera à même de décider si l’utilisation des huiles essentielles est judicieuse avec le traitement en cours et, dans le cas d’une réponse est favorable, d’éviter tout risque de toxicité ou d’interaction.

Élaborant des produits de qualité irréprochable, en conformité avec les exigences de la pharmacopée et distribuées exclusivement en pharmacie, le laboratoire Phiméa participe à l’utilisation sûre des huiles essentielles.